vendredi 21 juin 2013

Des progrès pour la terrasse

Après avoir commencé la terrasse à la Toussaint, il était temps d'avancer si on veut en profiter cet été. C'est toujours pas gagné, mais ça avance sur le principe de "ce qui est fait n'est plus à faire".

Là, pour le coup, on va quitter le monde écolo pour aller vers le monde du gros béton qui tache et qui pèse lourd.

Nous avions laissé la terrasse à peu près comme sur la photo suivante.






Il nous fallait maintenant envisager la suite, c'est à dire combler les parties encore en terre pour prévoir l'habillage de la terrasse.

Grâce à un copain nous avons pu avoir l'outil indispensable pour de tels travaux, une bétonnière !

Cela dit, avant d'en venir au béton, il convenait de casser encore un peu. En effet, nous allons faire une terrasse rectangulaire. Et il nous faut pour cela, nous assurer que tout soit bien de niveau. Sur l'image suivante, on constate ainsi que le "départ" du chemin de "ronde" du jardin, empiète d'une part sur l'espace terrasse, mais de plus que sa pente est orientée à l'inverse de la terrasse.





Du coup, on a cassé...pour changer un peu !





Alors on s'est dit qu'on allait en profiter pour faire la tournée des grands ducs dans le jardin. Casser tout ce qui restait à casser et bétonner tous les trucs à boucher par ci, par là.

En particulier, on a dézingué les bouts du mur qui traînaient encore près de la cave et que l'on aperçoit sur cette image, tout à gauche.

 
Nous en avons aussi profité pour boucher toutes bouches aujourd'hui inutilisées, comme celle là, en plein sur la chemin de "ronde" du jardin.





Conscience écolo et intérêt bassement matériel peuvent se joindre,, exemple ici. Où nous avons récupérer un maximum de gravats pour combler tout ce qui pouvait l'être. Les intérêts sont multiples :

  • Moins de gravats à amener en déchetterie
  • Moins de béton à mettre donc économie financière, mais moins de béton à fabriquer puisqu'on ré-utilise des déchets
  • Moins de sacs de béton à manutentionner, et à 30 Kg le sac, c'est mon dos qui m'a dit merci !
Exemple sur l'image suivante. On remarquera que la surface a bétonner a été copieusement ferrée. Il s'agit ici de se prémunir des fissures sur la chape à venir et du revêtement qui viendra habiller la terrasse dans un futur proche, probablement du carrelage.





Malgré toute notre bonne volonté d'économie de matière, c'est tout de même près d'une tonne de béton qui a finalement été ajoutée, pour un résultat plutôt sympa.





La suite des travaux de la terrasse viendra plus tard, pour le moment, nous allons en profiter cet été dans cet état là, c'est toujours mieux que rien.

La prochaine fois, on parlera de la rénovation d'un escalier, et là, on fera écolo. 

jeudi 16 mai 2013

Moins de jungle, moins de béton, plus d'espace

J'ai pris un peu de retard dans le blog, mais je me rattrape. Là, on ne pas plus parler écolo, mais du bon béton qui pèse lourd. Nous avons profité de la Toussaint 2012 pour virer quelques dizaines de kilos de béton et attaquer ce qui va devenir notre future terrasse. Mais pour commencer, un état des lieux.

Sur la photo suivante, nous avons un parterre en béton surélevé d'environ 15 cm par rapport au jardin et mine de rien, ça casse l'espace ; et l'évacuation des eaux de pluie, là aussi avec un montage exotique qui sent bon la bricole à 2 balles.


Puis nous avons quelques bordurettes en béton, tordues, forcément, et un bout de terre camouflé sous des graviers blancs...on maquille comme on peut hein !



Enfin nous avons un jardin un peu tordu lui aussi avec un bout de jungle qui envahit pas mal la terrasse.




L'état des lieux étant terminé, passons à l'action. Tout d'abord on enlève toutes les bordurettes en béton...




...puis on casse l'évacuation des eaux pour faire un truc propre.



Après une bonne journée de boulot à 4, nous avons des bordurettes neuves et surtout droites, un bout de jungle qui a disparu, bref, une terrasse qui commence à respirer.




Le fait d'avoir enlever le parterre devant la véranda agrandit visuellement le jardin qui pourtant n'a pas changé beaucoup. N'empêche que c'est mieux, bien mieux.