mercredi 17 novembre 2010

Garage : Jour 4 et 5

Le photographe que je suis parfois a un peu glandouillé et n'a pas pris de photo du 4é jour. C'est une compilation des jours 4 et 5 que nous allons avoir. Sachant que les travaux en sont restés là pour le moment.

On va donc commencer par les évolutions sur la "cage de la VMC. L'évolution est qu'il y a maintenant des portes. C'est toujours pas fini, mais c'est quand même mieux de ne plus voir cette grosse boîte.

Les portes devant la VMC.

Bien sur, c'est prévu pour pouvoir sortir la bête en cas de besoin. Le boulot à venir va se concentrer dans et sous cette "cage" pour finir d'isoler ça correctement, car les parois du bac à douche ne sont toujours pas assez bien protégées, de même que le flanc de l'escalier.

Ensuite une petite photo pour montrer qu'il reste toujours un bout de conduit souple sur l'évacuation et heureusement. En effet, le percement dans le mur n'étant pas bien rond, l'isolation est venue ajouter une difficulté supplémentaire pour passer le conduit. Alors finalement, un bout de conduit souple, ça sert bien.

Sortie de la VMC


On a aussi pu mettre un peu d'isolation, au dessus du compteur EDF, par autant que voulu, mais c'est toujours mieux que rien et c'est surtout pour isoler le plafond.

Ensuite, nous avons enfermé le ballon d'eau chaude. Là, clairement, c'est pas parfait, mais c'est mieux que rien, et ça cache la misère.

Le ballon ECS dans sa boîte


Nous avons fait une ossature isolée comme le reste par 100 mm de laine de bois, le tout fermé par des panneaux OSB. Non, il n'y a pas de porte, un coup de visseuse pour démonter les panneaux et voilà l'accès au ballon revenu.

Enfin, et j'y tenais beaucoup, nous avons isolé le conduit d'évacuation d'air vicié de la cuisine, c'est à dire celui qui véhicule le plus de calories qui avaient chauffaient...le garage. Pour cela nous avons fabriqué un caisson en pare-pluie isolant rigide. C'est léger, rigide et facile à travailler. A l'intérieur du caisson, le conduit est enveloppé de 40 mm de laine de bois, donc là normalement, c'est bon ! Bien sur, il reste à finir d'isoler la cage de la VMC pour que tout cela donne son plein rendement, ça va venir. Je m'y mets prochainement.


Le conduit d'évacuation de la cuisine est isolé


On peut voir les plaques de pare-pluie qui isolent aussi sous l'escalier devant la porte d'entré. C'est pas très beau, mais normalent, cela va être recouvert d'une fine plaque de contre plaqué qui habillera bien mieux cet endroit.

Voilà donc la conclusion d'une campagne de 5 jours intensifs de travaux. Alors, ça marche ? Plutôt pas mal pour le moment, et c'est surtout sensible dans la salle d'eau avec le sèche serviette qui est bien moins chaud qu'avant. Mais ce sera surement encore mieux quand tout sera fini. Dans la chambre de Jules c'est sensible aussi, le sol n'est plus glacial comme avant, mais faudra quand même attendre les grands froids pour se prononcer définitivement.

A suivre, les beaux parents qui vont meubler leurs journées de retraîtés en venant finir le lambris, ça finira la chose.

A bientôt pour de nouvelles aventures.

Garage : Jour 3

Autant on avoue avoir un peu traîner la journée du 27, autant la journée du 28 octobre a été intense et bien productive comme il faut.

Comme expliqué dans le premier billet relatif au garage, la VMC double flux doit être intégrée dans le volume chauffé du logement pour donner son plein potentiel. Cette partie là n'est toujours pas terminée à l'heure où je rédige ce billet, mais nous avons au moins réalisé les travaux qui nécessitaient d'être au moins 2. Nous avons utilisé les chevrons d'ossature pour fabriquer une "cage" qui emprisonne la VMC.

La VMC dans sa "cage"


Ah c'est sur que là, c'est solide !

Cette cage est bien sur destinée à subir aussi une cure d'isolation. Mais pour le moment elle a juste été construite. Le reste viendra en son temps. Par contre, pour faciliter le travail, il a fallu revoir l'arrivée des conduits à cet endroit ; le but étant de les faire arriver le plus droit possible pour :
- des raisons d'esthétiques, ça compte aussi un peu, même dans un garage
- faciliter le travail d'isolation autour des conduits, une arrivé non perpendiculaire rendrait beaucoup plus difficile le boulot.

Modification de l'arrivée des conduits


Comme on le voit sur la photo, il a fallu un peu ruser pour fixer les colliers qui sont simplement vissés dans des tasseaux, qui eux mêmes sont ensuite vissés dans les chevrons, à travers le lambris. C'était la seule solution pour pouvoir effectuer ces opérations.

Pour finir, on s'est occupé de l'escalier. Là, on a manqué de réflexion avec la "cage", du coup, il nous a fallu réduire les chevrons de 120 mm à 100 mm pour faire une liaison correcte entre le flanc de l'escalier et la "cage".

Ossature sur le flanc de l'escalier


Le décrochement que l'on voit sur le flanc est simplement là pour éviter de réduire encore plus la hauteur utile pour le passage sous la porte, qui n'est déjà pas bien importante. Cette hauteur sera isolée en collant simplement des plaques des pare-pluie rigide isolant Homatherm de 25 mm, comme on le verra sur le prochain billet. Ce sera toujours mieux que rien et ça laisse l'endroit encore utilisable, heureusement c'est la porte d'entrée !!

vendredi 12 novembre 2010

Garage : Jour 2

Petite journée, dès le 2é jour c'est abuser !! Mais bon, il a fallu courir pour trouver LE coude qui manquait pour le conduit d'arrivée d'air de la VMC.

Donc, comme écrit dans le billet précédent, il a fallu descendre les conduits de la VMC pour pouvoir insérer le complexe isolant. Pour le conduit d'arrivée d'air, il a même fallu "décoller" le conduit du mur.

Sinon on a pas traîné quand même, puisqu'à l'issue de ce 2é jour, tout le plafond était couvert.


Bricolage "Mac Gyver", j'avais la ficelle, mais il manquait le trombone pour faire un hélicoptère.

Les tuyaux "décalés"


Et puis quelques clous plus tard et le lambris était bien avancé.

mercredi 10 novembre 2010

Garage : Jour 1

C'est par le plafond en ce jour du mardi 26 octobre que nous avons officiellement entamé l'isolation du garage.

Méthode classique et désormais bien maîtrisée, du moins par nous, une ossature bois, des panneaux de laines de bois, et on finit en couvrant de lambris. A noter que Leroy-Merlin s'étant mis à fond dans l'isolation et la construction écolo, on y trouve maintenant du bois d'ossature à des tarifs très corrects. Le lambris vient des Landes, c'est du déclassé avec pleins de noeuds qui s'en vont...c'est un garage, pas un salon.

Comme on le voit sur la photo suivante, le garage, le notre tout du moins, c'est loin d'être aussi plat qu'un mur extérieur. Il a donc fallu beaucoup de découpes pour tout mettre en place. Normalement, les chevrons (40 * 120 mm) sont perçés, les vis de fixation les traversent alors pour se ficher dans le mur. Le problème est que le plafond est en béton armé, donc quelques fois, nous avons rencontré sa majesté ferraille qui a nous obligé à mettre des équerres. Heureusement, ce n'est pas arrivé bien souvent.



Après on "envoie" le boulot pour poser les chevrons. L'écartement est de 1 cm de moins que les panneaux (Homatherm en 100 mm) afin qu'ils puissent tenir tout seul...ça tient.


Par contre, comme on le voit ici, il a fallu faire un gros boulot autour des conduits de la VMC. Fixés au plafond, la tâche a consisté à les descendre dans tout couper pendant 5 jours. Et puis on a posé un peu de lambris, pour avoir moins de poussières et puis pour "finir" un peu les choses.



Premier jour : 1/3 du plafond et 2/3 du bac à douche, pas si mal.

jeudi 4 novembre 2010

Garage, jour 0

Nous y voici enfin. Car qui dit isolation par l'extérieur, dit que seules les pièces de vie sont dans le volume chauffé du logement. Et à moins que vous n'ayez décidé de mettre votre lit dans le garage, celui-ci, doit être exclu des pièces chauffées.

Dans notre cas, s'ajoute le petit souci de la VMC double flux, qui elle, doit être incluse dans le volume chauffé du logement. Et tant qu'à (bien) faire, il faudra aussi isoler le conduit d'extraction de la cuisine afin que les calories qu'il véhicule, ne serve pas à chauffer les vélos.

Alors, petite mise en situation, voici quelques photos du garage tel qu'il était avant les travaux. Au plafond la chambre de Jules, au fond l'escalier et le palier du haut. Et puis, allons y gaiement pour isoler un peu le ballon d'eau chaude, ça lui fera pas de mal.


Et là, la VMC, ah c'est sur que vue comme ça, elle respire la VMC, elle risquait pas la surchauffe !! C'est justement le problème. Le monolithe gris à gauche, c'est notre bac à douche. Autant dire qu'il faut vraiment envie d'être propre l'hiver !!

Mais tout ça n'est que de l'histoire ancienne, place aux travaux !

mardi 2 novembre 2010

Evolution du blog

Avant de me lancer dans la description de l'isolation u garage (ça vient d'être fait), et pour faciliter la navigation du blog, tous les billets ont maintenant un ou plusieurs libellés que vous retrouvez à droite, pour un accès direct aux catégories qui vous intéressent.

A suivre donc, l'isolation du garage...quand j'aurai le temps.

jeudi 21 octobre 2010

Maisonnette : la fin

Le beau temps de septembre nous aura permis d'en terminer avec le toit de la maisonnette. Tout d'abord, découper la tôle qui dépasse et qui protégeait de la pluie en attendant la faîtière.


Ici Vincent au travail


Le toit terminé, c'est propre et net, fin de l'histoire.


Il manque juste un petit coup de silicone au niveau de la cheminée restante, histoire de rendre tout bien étanche, ce sera fait en novembre. Idem, il faut ajouter une grille pour protéger la dalle des feuilles mortes, Leroy-Merlin a maintenant une référence pour ça, parfait.

lundi 6 septembre 2010

Jim pose le bac acier...et se fait choper par un voisin

Une fois tout bien préparé, faut d'abord monter les tôles là haut, et c'est lourd tout ça. Après c'est marteau, visseuse et ça donne ça.



Nous on aime, mais pas le voisin, dommage pour lui. En regardant partout autour, ce n'est qu'un alignement de toits tous plus pourris les uns que les autres, tôles rouillés, amiante qui part en miette...Là le toit est tout neuf et le gars gueule !! Va comprendre Jim.

Bref, ça nous plaît, c'était rapide, pas cher et efficace car maintenant, c'est hors d'eau, but premier de la manoeuvre. Pourquoi blanc : pour limiter les surchauffes à l'intérieur pardi.

Depuis le jardin, ça donne ce qui suit. C'est pas encore fini, il manque les rives et les faîtières qui devraient arriver bientôt. L'abri du bois sera revu aussi prochainement.


A bientôt.

Jim enlève la partie pourrie

Dans cette Mission Possible, Jim va d'abord enlever la couverture pourrie qui prend l'eau et profiter de la surprise à venir : l'état de la charpente.


Et globalement la surprise est très bonne. La charpente est en très bon état, seuls 2 chevrons seront à consolider, un au pied de la cheminée, l'autre au coin de la maisonnette au niveau du faîtage.

Puis on couvre de pare-pluie, étape importante car la couverture à venir sera en bac acier, le pare-pluie devra ainsi récolter la condensation qui ne manquera pas de se former sur les tôles lorsque que la maisonnette sera occupée.


C'est super piégeux ce truc, on a bien failli passer à travers une dizaine de fois. On remarque aussi le démarrage du solivage ; solives sur lesquelles seront fixées les tôles.

C'est reparti comme en 40...

...en fait non, comme en 2007 plutôt.

Jim, votre mission, si toutefois vous l'acceptez, sera de refaire le toit de la dépendance dite "la maisonnette". Vous trouverez ci-joint une image de la cible :


Bon ok Jim, là on voit rien, mais ça situe la cible. Maintenant que vous savez où c'est, voici plus en détail la cible elle même :


Eh oui Jim, c'est complètement pourri, donc y a du boulot, vous croyez pas qu'on vous paie à rien faire non plus !! Comme d'habitude, si vous vous faites prendre (j'y reviendrais) ce sera de votre faute et on ne vous sortira pas de la panade.

Ce message de blog ne s'autodétruira pas et restera ici à la disposition de tous, non mais !

mardi 13 juillet 2010

Finalisation de la porte du garage

Ca s'est fait tout seul, les beaux parents sont venus un après midi et hop, en rentrant du boulot je trouve la porte du garage terminée. C'est trop bien quand les travaux avancent tout seuls !!



De l'extérieur


Ca paraît pas droit, en fait c'est une illusion d'optique, c'est le tableau en béton qui est bancal, d'où cette impression. C'est neuf, propre et très pratique à l'usage.


De l'intérieur


C'est là qu'est l'énorme progrès, plus besoin d'allumer en permanence la lumière, c'est vraiment bien pratique.

Prochaine étape : Août 2010 : on refait le toit de la maisonnette, plus de tuile, place au bas acier blanc.

lundi 14 juin 2010

C'est reparti pour un tour !!

Et nous revoilà frais et dispos pour démarrer une nouvelle tranche de travaux. Les travaux présentés ici sont assez anodins mais ils vont préparer le prochain gros chantier d'isolation : le garage.

Et donc, pour commencer, il s'agit de changer la porte du dit garage. Porte que je vous présente ici.

C'est vieux et moche comme une vieille porte de garage !!


En plus elle nous embête cette porte car elle est coulissante et "mange" donc une bonne partie du mur sur lequel elle coulisse.


En plus, elle est haute, pas facile de bien couvrir le plafond avec ça. Et pour finir, l'ouverture à droite est pénible, dès qu'il faut pousser pour avoir une largeur plus grande c'est la galère...


...bref, poubelle la vieille porte !

Et place aux jeunes !

C'est déjà beaucoup mieux non ? Ca s'ouvre au milieu, ça se plit sans prendre de place sur le mur, ça s'ouvre à la demande très facilement.

Par contre, c'est pas franchement plus joli, c'est vrai


Le gros pâté marron n'est pas esthétique, mais c'est provisoire. En effet, il sera bientôt avantageusement remplacé par un chassis fixe avec vitrage dépoli, ça permettra d'avoir de la lumière à naturelle dans le garage et c'était carrément plus facile que d'aller refaire un linteau en béton.

Pour la suite des travaux, nous aurons donc dans les prochaines semaines :
- le chassis fixe du garage quand...il arrivera,
- le toit de la maisonette au fond du jardin car le toit actuel prend l'eau,
- l'isolation du garage en laine de bois+lambris.

A bientôt.

mercredi 24 février 2010

Pour en finir avec le poêle

Petit message pour finir cette histoire de poêle sur une note positive.

A l'automne 2008, nous nous sommes mis en quête d'un nouveau poêle. Nous avons contacter 3 fournisseurs sur Nantes.

Flamme de Retz à Rezé ne nous a jamais recontacté, ça tombe bien, je les sentais pas ces gens là. Un fournisseur de la zone Atlantis nous a éconduit en voyant invoquant l'illégalité de notre montage à 2 dévoiements, bizarre.

Finalement, nous avons atterri chez Hase à Nantes et là, ce fut le bonheur de rencontrer des gens sympa, d'une compétence et d'un professionnalisme rare. Nous avons choisi un modèle de 6 kW, plus en accord avec notre volume, le Bari, noir, tout simple en acier (Hase ne pousse pas à la consommation des options).

Nous avons juste du poser une autre plaque en acier sur le parquet, la précédente était posée sur un socle en béton, le Bari étant beaucoup plus haut que le Bruno, il fallait le rapprocher du conduit.

Au final nous avons un poêle magnifique, avec une grande vitre, de belles flammes, un rendement du tonnerre et des interlocuteurs toujours à notre écoute. Ca change la vie.

Petite histoire de justice 3 - la fin

...suite et fin...

Début février nous recevons un courrier d'un mandataire judiciaire de Rennes nous demandant nos créances pour une entreprise en liquidation que nous...ne connaissons pas. Nous appelons et apprenons qu'il y a eu une erreur (ah ces stagiaires !!) et qu'en fait la société Chéminées et Cuisines Vincent a été mise en liquidation judiciaire le 26 octobre 2009. La collecte des créances durant 2 mois, nous sommes hors délai par la faute du mandataire. Nous demandons s'il est possible de lever la forclusion, mais un mail laconique du mandataire nous calme pour de bon : il n'y a plus d'actifs.

End of story.

Finalement tout le monde nous dit que nous sommes dans notre bon droit, mais au final c'est nous payons pour les erreurs des autres (tribunal et mandataire). Le manque de professionnalisme et la lâcheté avec laquelle nous avons été traités me donne un goût amer. Et que dire que et le tribunal et le mandataire invoquent la faute de stagiaires pour se dédouaner. Quelle belle excuse !!

mardi 23 février 2010

Petite histoire de justice 2

...suite...

Quelques jours plus tard nous recevons un mail de l'importateur qui nous propose soit de renvoyer le poêle chez lui, à nos frais, pour analyse (en plein hiver !!), soit que M. Vincent nous le reprenne à moitié prix.

Nous répondons que ce poêle a visiblement un défaut, que la garantie doit s'appliquer. Nous donnes à nos 2 interlocuteurs un ultimatum, pas de réponse. J'appelle M. Vincent pour tenter de régler le problème à l'amiable et me fait copieusement insulté, c'est la totale.

Nous faisons donc une mise en demeure officielle à M. Vincent qui fait le mort. Alors, nous décidons de faire appel à l'UFC Que Choisir.

Première étape : faire expertiser le poêle. Le 24 juin 2008, le cabinet Arthex arrive et pendant 3h de temps et par 24°C dehors, nous faisons fonctionner le poêle, à fond (plus de 30°C dans la maison malgré les fenêtres grandes ouvertes. Le verdict est sans appel : c'est 350 € et le poêle a un problème de revêtement.

Maintenant c'est Que Choisir qui met en demeure M. Vincent et...toujours rien, il fait le mort. Il est alors temps de passer à d'autres mesures, nous préparons un dossier pour saisir la juridiction de proximité.

La première convocation a lieu le 20 mars 2009, M. Vincent s'est excusé auprès du tribunal, l'audience est renvoyé au 19 juin, et j'ai perdu une journée de congés.

Deuxième convocation le 19 juin, le tribunal a oublié de prévenir M. Vincent (véridique !), l'audience est renvoyée au 6 novembre 2009, j'ai perdu un 2é journée de congés et je n'ai eu droit à aucune excuse.

Le 6 novembre 2009, M. Vincent n'est pas là, l'audience a lieu sans lui, le jugement est renvoyé au 8 janvier 2010. le 22 janvier nous recevons copie du jugement, nous sommes gagnant sur toutes la ligne. La société de M. Vincent est condamnée à nous rembourser le poêle, au prix neuf + intérêts, l'expertise, et à nous verser des dommages et intérêts.

Non non, l'histoire ne s'arrête pas encore là, malheureusement.

...à suivre...

Petite histoire de justice 1

Je n'ai pas beaucoup parlé du poêle Bruno sur ce blog, je vais le faire. L'affaire est un peu compliquée car nous étions en litige avec l'installateur et nous avons du porter la chose devant la juridiction de proximité.

C'est vrai que je m'étais arrêté sur le poêle Bruno 9. A l'été 2007, nous avons pris contact avec l'importateur français qui nous a orienté vers le distributeur sur la région, Cheminées et Cuisines Vincent, situé à Redon.

Rendez est pris avec M. Vincent qui nous dit "pas de souci pour le Bruno 9" et avec qui nous faisons affaire. Jamais n'aura été évoquée par le vendeur la trop forte puissance du Bruno (9 kW) pour notre petit volume.

L'affaire se corse, déjà, lors de la pose du conduit. Tout d'abord, la société nous facture un conduit double enveloppe Poujoulat inox, parfait, mais l'inox c'est 2 fois plus cher que l'acier galvanisé. Or, celui-ci aurait très bien pu faire l'affaire pour les parties non visibles du conduit. Trop tard pour nous qui ne connaissions pas cet aspect.

Puis, l'installateur nous livre (il était convenu que nous posions le conduit) une longueur insuffisante de conduit. Qu'à cela ne tienne, la société Vincent finira le boulot à ses frais. Seulement, au lieu d'amener 1.3m, ils n'amènent que 1m, résultat : le monteur fait carrément traverser le plancher par le conduit chaud puisque le conduit isolé est trop court. C'est dangereux et illégal.

De nouveau retour de M. Vincent, du monteur qui fait descendre le conduit isolé pour régler le problème. Et tout rentre dans l'ordre...si ce n'est que le conduit ne dépasse plus du faîtage aux 40 cm réglementaires, mais à moins de 10 cm. On y reviendra plus tard.

Nous rentrons donc dans la maison et nous servons du poêle de 7h du matin à 22h le soir environ. Problèmes : ça brûle mal, la vitre s'encrasse très vite et la carcasse du poêle diffuse une odeur chimique désagréable dès que ça brûle un peu fort.

Clairement notre bois n'était pas assez sec, mais ce n'était pas la seule cause loin de là.

Très vite, nous contactons l'importateur pour nous plaindre de l'odeur, surtout que Jules était nourrisson, pas sympa pour lui. On nous répond d'attendre un peu que le poêle se rode, que ça va passer, etc...sauf que ça passe pas.

Début janvier 2008, nous rentrons des vacances de Noël, il fait 8° dans la maison, on lance le poêle. Très vite, ça pue, c'est intenable, on ouvre les fenêtres !!

Là, mail à l'importateur. Le 14 février 2008, M. Vincent et son commercial viennent pour constater le problème et nous proposer une autre solution. Entre temps, nous avons fait intervenir un professionnel du coin pour poser une rallonge sur le conduit, ce qui résout nos problèmes de tirage.

M. Vincent nous fait un devis pour un poêle Austro Flamm de 6 kW qui devrait mieux nous convenir, mais nous exigeons une solution de reprise du Bruno.

...à suivre...

lundi 22 février 2010

Evolution de la cuisine

C'est encore l'hiver, une saison pas vraiment propice pour se lancer dans de grands travaux. L'hiver c'est la saison de la déco.

Alors on profite du froid dehors pour améliorer la cuisine. Maintenant que les meubles sont posés, il était grand temps de s'occuper de l'habillage des murs. C'est chose faite.

Un petit tour chez Leroy Merlin pour trouver un carrelage sympa (et en promo, bonne nouvelle), un petit tour chez Bio Construction Matériaux pour trouver de la colle sans trop de cochonneries et l'affaire est dans le sac.

Et en plus, si je vous dis que ce sont les beaux parents qui ont tout fait, alors là, moi je dis que la vie est belle !!

Avant



Après


Et un petit rappel pour se remettre dans le cerveau le chemin parcouru.

A l'origine



Ah ben oui, forcément, ça change un peu ;-)

mardi 16 février 2010

Petites mesures de températures

Bon c'est l'hiver, tout le monde a vu, et surtout senti le froid. Dans un précédent billet, j'ai parlé de la très nette différence de température qu'on sent au sol (sous le pied) entre les murs isolés et non isolés.

Alors, fini la subjectivité, place à l'objectivité des mesures, le thermomètre électronique (celui qu'on met dans les oreilles des petits) entre en action.

Petit rappel, notre espace salon+bureau est en forme de U dont 2 murs sont isolés. On parle là de la partie basse de la maison. Cette surface, environ 32 m2, est revêtue de parquet.

La mesure a été réalisée hier soir, le 15/02/2010 donc, il faisait franchement froid dehors, environ -2°, le thermomètre a été placé à la jonction du sol et du mur, les mesures ont été effectuées à plusieurs endroits le long de ces murs, les résultats sont implacables :

Température mesurée au sol près du mur non isolé : 16,1/16,2 °C

Température mesurée au sol près du mur isolé : 18,4/18,5 °C

Qui a dit que ça marchait pas l'isolation par l'extérieur ???